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Cao Bang : s’éloigner du monde civilisé, pour un Vietnam authentique

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Imaginez-vous hors des sentiers battus, cerné par les rizières et les montagnes, partant à la rencontre d’ethnies surprenantes, accueillantes et authentiques. Bienvenue dans le nord du Vietnam, dans la région de Cao Bang ! Loin de l’agitation de Saïgon ou d’Hanoï, ou de la surpopulation touristique de certains sites tels que la baie d’Halong ou Hue, Cao Bang agit comme un véritable havre de paix à l’écart de toute civilisation. Et voici rien que pour vous les deux principales raisons de vous y rendre !

Des paysages impressionnants

Première raison d’explorer la région de Cao Bang : ses paysages. Entre lacs, grottes et falaises, vous aurez de quoi être émerveillé. Si cette région regorge de somptueux panoramas, évitez néanmoins de vous arrêter dans la ville éponyme. Ce sont en effet surtout les environs qui présentent un grand intérêt.

Arrêtez-vous tout d’abord aux chutes de Ban Gioc, parmi les plus impressionnantes du Vietnam. Durant la saison des pluies, le débit augmente et le spectacle n’en est que plus saisissant. Vous pourrez d’ailleurs vous baigner dans la chute secondaire avant de prendre la route vers la grotte de Nguom Ngao, dédale de galeries creusées par une rivière souterraine.

Autre site incontournable chargé d’histoire : Hang Pac Bo, ou grotte de la roue à eau. C’est ici qu’Ho Chi Minh trouva refuge après 30 années d’exil, à seulement quelques kilomètres de la frontière chinoise. Cernée par les montagnes calcaires et la forêt, cette grotte est vénérée par les révolutionnaires vietnamiens. Sur la route, vous aurez par ailleurs l’occasion de découvrir de splendides panoramas constitués de rizières à perte de vue, de pics karstiques ou de lacs bleutés, à l’écart de toute civilisation.

Rencontre avec des peuples du bout du monde

Vous ne comprendrez jamais mieux un pays qu’en échangeant avec sa population. Le nord du Vietnam regroupe une vingtaine d‘ethnies minoritaires, qui vivent en complète autarcie. Parmi les plus importantes, on trouve celle des Tay, des Nung, des Hmong, des Dzao ainsi que des Lolo. Pour partir à leur rencontre, écartez-vous de la route, marchez, parfois plusieurs heures, et atteignez enfin ces petits villages perchés à plus de 1000 mètres d’altitude, foyers de ces peuples qui vivent majoritairement de la culture du riz.

La vie quotidienne de ces ethnies est fascinante et déroutante : attendez-vous à sortir de votre zone de confort ! Dans ces villages ethniques perdus dans les montagnes, aucune infrastructure, aucun confort mais une Asie authentique et inchangée. Vous y trouverez des personnes simples, accueillantes, qui malgré la barrière de la langue – les sourires et les gestes suffiront à vous faire comprendre – seront prêtes à vous inviter chez eux et seront fiers de partager avec vous leur culture et leurs traditions.

Un voyage sur mesure à Cao Bang avec Altiplano Voyage est sans aucun doute propice aux rencontres fortes et à l’aventure. Sortez des sentiers battus et prenez toute la mesure de l’éternel conflit entre tradition et modernité.

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Voyage Birmanie / MyanmarVoyage culturel

Voyage en Birmanie rime avec lecture

MANDALAY Monastère Bagaya

Un voyage est souvent source d’inspiration et de lecture avant le départ.

Pour vous mettre dans l’ambiance de votre futur voyage en Birmanie, je vous conseille quelques lectures qu’elle a appréciées !

Notre suggestion de lecture avant votre voyage en Birmanie.

À vos marque-pages pour commencer à voyager tout en restant dans votre canapé !

Découvrir les Bouddhas à travers la lecture.

Tout d’abord, Bouddha est LE personnage essentiel en Birmanie. Vous verrez des Bouddhas de toutes les couleurs, de toutes les tailles, que ce soit en or, bronze, pierre, cuivre, etc. Pour être tout à fait renseigné et comprendre les subtilités du bouddhisme (et paraître bien informé devant votre guide !), pensez à lire la biographie « Bouddha » de Sophie Royer aux éditions Folio Biographies.

À la conquête de la cité de Mogok pour les littéraires.

Joseph KesselPour les littéraires, l’incontournable est « La Vallée des rubis » de Joseph Kessel. Ce voyageur/reporter au long cours vous plonge dans la mystérieuse cité birmane de Mogok, à la recherche de la pierre précieuse la plus rare.

 

 

Pour une découverte rapide de la destination.

Pour les plus pressés, « Le goût de la Birmanie » aux éditions Mercure de France, est un petit recueil avec des extraits de textes sur le pays. Tous les styles s’y mêlent, de George Orwell à Pierre Loti ou de Michael Symes à Kipling. C’est aussi une bonne idée de cadeaux pour vos proches qui voyagent.

La Birmanie en aquarelles.

Pour les créatifs, le « Carnet de route Birmanie » de Philippe Bichon vous présente un carnet de voyage sous forme d’aquarelles. Tout en couleurs et en douceur !

Une épopée birmane.

Pour les romanciers, « Birmane » de Christophe Onot-dit-Biot vous emmène sur les traces de César qui veut rapporter de Birmanie l’histoire qui changera sa vie. Au cœur des ténèbres, le voyage du jeune français va se transformer en formidable aventure ; vers une légendaire Femme-Tigre, réfugiée avec son peuple au cœur de la jungle du Triangle d’Or.

Sur les traces de son père birman.

Pour les romantiques, avec « L’art d’écouter les battements du cœur », l’auteur Jan-Philipp Sendker vous conte l’histoire de Julia, une jeune américaine qui part sur les traces de son père birman disparu il y a 4 ans en retournant en Birmanie. En rangeant le grenier de leur maison, elle a découvert des lettres d’amour que son père a écrites – mais jamais envoyées – à Mi Mi, une jeune Birmane de Kalaw. Grâce à U Ba, un vieux Birman, elle apprendra que son père possédait un don, celui de déchiffrer l’âme des gens en écoutant les battements de leur cœur.

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Au cœur de l’histoire birmane.

Pour les historiens, Pascal Khoo Thwe, un exilé birman, a écrit « Une odyssée birmane ». Il y raconte son histoire poignante d’étudiant insouciant à l’université de Mandalay devenu opposant au gouvernement et parti rejoindre les rebelles dans la jungle birmane. Ce livre à lui seul est un vrai condensé des années noires birmanes et raconte l’histoire de tout un peuple.

Apprentissage de la langue birmane.

Enfin, si vous parlez quelques mots de birmans (même si votre accent sera sujet à quelques rires amusés), vous serez encore plus apprécié des locaux. Le birman n’est pas évident, mais tentez l’expérience d’apprentissage avec le livre « Parlons birman » de Marie-Hélène Cardinaud aux éditions L’Harmattan.

Si vous souhaitez organiser votre voyage sur mesure en Birmanie, contactez-nous !

Pour en apprendre plus sur la destination, je vous invite à lire :

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